Le Parc développe et teste pour la mytiliculture un filet anti-prédation biosourcé, biodégradable, recyclable et compostable, en collaboration avec le Comité Régional de Conchyliculture des Hauts-de-France.
La présence de déchets doit être limitée pour minimiser les impacts sur la vie aquatique et les écosystèmes marins et garantir une bonne pratique des usages.
Afin d’améliorer les connaissances des milieux sableux et vaseux recouverts par les marées, le Parc a lancé à l’automne 2020, et pour une durée de deux ans, le projet HABISSE.